Le nouvel établissement s’est installé entre les murs de l’ancienne boutique Jean-Paul Gaultier, à deux pas du Jardin du Palais-Royal.
Hauteur sous plafond, miroirs, voûtes et un espace démesuré : à peine après avoir franchi le seuil de la porte de chez Daroco, on en a le souffle coupé. Nouveau projet des insatiables Alexandre Giesbert et Julien Ross – déjà à l’origine des restaurants Roco, Roca et Rococo -, la néobrasserie italienne a pris ses quartiers dans un immense espace de 450 m².
On est accueilli dans la trattoria par de (très!) nombreux serveurs en marinière (clin d’œil à la star française du stylisme). On est rapidement invité à s’asseoir à l’une 170 places, pour y déguster ensuite une pizza entre 11 et 18 euros, précédée d’antispasto, parmi lesquels on retrouve la classique burrata, revisitée avec pesto et citron vert. Côté dessert également, on retrouve les traditionnels de la cuisine italienne, avec notamment le tiramisu de Roco, ou la panna cotta. Pour un menu complet (à l’italienne, comprendre entrée + pâtes + viande ou poisson +dessert !), il faudra tout de même débourser 48 euros, sans boisson.
Pour se rafraîchir dans une ambiance plus feutrée en fin de soirée, on déambule jusqu’au bar à cocktail Da Nico avec vue sur la galerie Vivienne. On plonge dans la carte des cocktails, aux recettes audacieuses, les yeux fermés. Avec Tiff et Clem, on craque spécialement pour le Vodka not too sweet (à base de vodka donc, mais aussi de thé vert, kale, jus de citron jaune, quinoa et skinny bitch salt rim). Même si, avec le recul, La Myrtille (cognac, beurre noisette, fève tonka, myrtille, vinaigre, verjus, champagne) nous faisait aussi sacrément de l’œil. Qu’à cela ne tienne, on y retournera…
Informations pratiques:
Daroco
6 rue Vivienne
75002 Paris
- J’ajoute
dans ma To Do - J’ y suis allé,
je valide - J’ y suis allé, je ne conseille pas